De la même manière que
par un arrêt précédent du 4 mai 2012 (clic), la Cour de cassation estime dans un arrêt du 31 octobre 2012 que « la
responsabilité de plein droit qui pèse sur le garagiste réparateur ne s'étend
qu'aux dommages causés par le manquement à son obligation de résultat et qu'il
appartient à celui qui recherche cette responsabilité, lors de la survenance
d'une nouvelle panne, de rapporter la preuve que les dysfonctionnements
allégués sont dus à une défectuosité déjà existante au jour de l'intervention
du garagiste ou sont reliés à celle-ci »